Le blog de le-tombeau-des-lucioles.over-blog.com

Pour répondre à la problématique de ce TPE et conclure celui-ci nous allons résumer en quelques lignes comment Isao Takahata procède-t-il pour transmettre l'émotion dans son film. Le réalisateur prend en compte beaucoup de critères: la musique, les personnages,...

C'est dans une prose très violente qui, comme par magie, trouve une véritable beauté poétique, que nous découvrons ce que peut-être une enfance dévastée par la guerre. Une sorte de jeux de miroir où les flammes, la destruction et la maladie se reflètent...

En totale adéquation avec la volonté de l’auteur et le thème du film, le graphisme de Yoshifumi Kondo est extrêmement réaliste. Le physique des personnages est parfaitement proportionné, leurs expressions sont claires et rapidement identifiables, bref...

Malgré la misère, la violence et la peur, le film laisse place à des moments de joie et de tendresse. On les rappellera et on montrera comment ils contribuent à rétablir une sorte de vie quotidienne normale. Seita et Setsuko pêchent des coquillages dans...

Le fil rouge : Le pré générique du film offre ici l'occasion de mettre en place différents éléments du récit symboliquement forts et de faire s'entrelacer l'imaginaire enfantin et la réalité terrible de la guerre et de la mort. Extraite de la nuit noire...

Interview d’Isao Takahata : Pourquoi un film d ‘animation et pas un film traditionnel ? « Je pense qu’il existe des récits qui ne peuvent être retranscrits en images que par l’animation. L’animation devient le moyen par excellence de leur donner forme....

D’une histoire Vécue... Le film d’animation tire du récit original (la nouvelle de Akiyuki NOSAKA) son thème principal : deux enfants livrés à la débâcle d’un pays en ruine et son sujet : la mort. Ainsi, le récit littéraire comme le récit cinématographique...

Fiche technique : Le Tombeau Des Lucioles ( 火垂るの墓 Hotaru no haka) est un film d’animation réalisé par Isao Takahata, et produit par Sato Ryoichi. Adaptation animé de l’œuvre autobiographique d’Akiyuki Nosaka et soutenu par les musiques de Michio Mamiya,...

Une des très grandes réussites de ce film est sans doute la rare maîtrise par Takahata du mariage entre réalisme et onirisme poétique. Les scènes de guerre sont particulièrement concrètes : bombardements de Kobe, mort de Seita, crémation de Setsuko, corps...

Si les larmes des spectateurs sont essentiellement dues à notre impuissance, notre colère face au sacrifice de ces enfants, les larmes de Seita et Setsuko sont évidemment liées au contexte de guerre qui les entoure. Il faut dire qu’il ne faisait pas bon...